Infirmière depuis 33 ans, je veux apporter aux patients de la quiétude et un propos clair au sujet des traitements. La peur, l’isolement et les émotions perturbés des patients m’interpellent depuis le début de cette crise.

Les mesures restrictives et abusives ont apporté beaucoup d’ambiguïté dans notre système de santé. L’observation des effets secondaires de la vaccination et de multiples problèmes collatéraux ne concorde pas avec les bienfaits attendus. Des vies sont brimées à court et à long terme.

Pour offrir le meilleur traitement, le rôle de l’infirmière est d’observer et de communiquer l’état général du patient au médecin, mais il n’existe en ce moment qu’un moyen de prévention contre la COVID : une injection expérimentale à répétition.

Reprenons conscience qu’un CHOIX doit toujours exister, que la prévention par de saines habitudes de vie donne du pouvoir au corps et que c’est légitime de poser des questions.

Il faut Éveiller les consciences pour faire une différence!

Je suis sage-femme au Québec depuis 2005. J’ai agi à titre de présidente de l’association professionnelle durant 7 années. Je me suis investie corps et âme pour défendre notre profession, tant que la population puisse y avoir accès que pour une juste reconnaissance de l’apport des sages-femmes dans le réseau de la santé publique. La philosophie de la pratique sage-femme défend le libre-choix, le consentement libre et éclairé et fait la promotion du principe de précaution. Dans une relation de partenariat, « les sages-femmes encouragent les femmes à faire des choix quant aux soins et services qu’elles reçoivent et à la manière dont ceux-ci sont prodigués. » « Elles reconnaissent que la décision finale appartient à la femme. »

Bien sûr, notre philosophie s’applique au suivi de grossesse, à l’accouchement et au suivi postnatal. Cependant, il s’agit de valeurs qui dépassent nos soins et services, ce sont des valeurs humaines et de respect. Je considère que ces valeurs sont actuellement annihilées sur la base d’un discours non justifié par la science. Voilà pourquoi j’assume mon libre-choix.

Psychologue depuis 20 ans, et exerçant depuis 13 ans au Québec, j’ai constaté, depuis le début de la pandémie et avec la mise en place des mesures sanitaires, une explosion de demandes de suivi en psychologie et toutes les ressources psychosociales sont débordées, même le privé.
Je suis préoccupée par les impacts de la politique sanitaire sur la population et les divisions que cela a apporté dans la société québécoise. La polarisation antivax/provax a créé des ruptures de liens sociaux générant de grandes souffrances de part et d’autre, beaucoup de colère et de détresse.
Et plus que tout, je suis particulièrement troublée par la distorsion qui a été faite de la notion de consentement libre et éclairé et la négligence du respect de la dignité de la personne durant cette période.

En tant que comptable CPA depuis 12 ans, j’ai eu l’opportunité de travailler avec de nombreux particuliers et propriétaires d’entreprises. Malheureusement, au cours des 2 dernières années, j’ai vu de nombreuses ruptures familiales, d’immenses difficultés financières car les entreprises sont constamment fermées en raison des lockdowns.

L’aide financière gouvernementale que mes clients reçoivent n’est jamais suffisante.La partie la plus difficile est quand les clients partagent leurs problèmes émotionnels concernant leur vie et leurs finances pendant cette période. Au Québec, nous payons déjà les impôts les plus élevés et pourtant de nombreux citoyens sont bannis de la société à cause d’un choix médical que la Charte des droits et libertés leur permet de faire.Qu’est-il arrivé à la liberté ?

Je travaille dans le milieu de l’éducation depuis plus de vingt ans. J’ai commencé ma carrière en tant qu’enseignant en adaptation scolaire et je suis maintenant conseiller pédagogique au secondaire (orthopédagogue professionnel). J’avoue être particulièrement inquiet par la situation actuelle.

Les dommages collatéraux engendrés par l’imposition des mesures sanitaires auprès de la jeunesse québécoise me révoltent. L’anxiété, la dépression et les difficultés académiques chez les élèves ne sont-elles pas plus préjudiciables que les dangers encourus par la COVID à leur âge ? Le port du masque exigé aux enfants et adolescents va à l’encontre de leurs développements sociaux affectifs. Ceci est scandaleux sachant que l’INSPQ démontre que cette tranche de la population (1 à 14 ans) est 15 fois moins à risque de mourir de la COVID que d’un accident d’automobile.

Le personnel de l’éducation a le devoir et la responsabilité de se dresser pour protéger ces jeunes. Il est plus que temps de faire voler en éclat le silence qui étouffe les professionnels depuis trop longtemps et qui condamne cette génération vulnérable.

Au nom de nos précieux élèves, rejoignez-moi, afin de défendre leur bien être !

Travaillant depuis 7 ans comme Paramédic, j’ai l’opportunité de voir la réalité. Depuis la covid, je n’avais jamais vu autant d’appels pour des gens ayant des idées suicidaires. Surtout pas pour les enfants! D’ailleurs j’ai même vu 2 cas d’enfants dans un temps très rapproché; 1 suicide et une tentative. Je remarque régulièrement des contradictions sur la réalité de ce qu’en disent les médias et le terrain. Par exemple, je remarque que les complications du vaccin sont nombreuses sur la route alors que dans les médias, on nous dit que c’est sécuritaire. Cela m’inquiète énormément, étant là pour rassurer les gens et les aider.

Je suis enseignante dans le champ 1 d’adaptation scolaire depuis 25 ans. Toutes les mesures sanitaires mises en place ne fonctionnent visiblement pas si les gens continuent d’attraper la Covid-19.

J’ai eu la maladie et j’ai des amies vaccinées qui l’ont eu aussi. Nous avons eu exactement les mêmes symptômes. À quoi servent ces vaccins s’ils ne protègent pas contre la maladie ?

Faire porter des masques aux enfants, leur transmettre une peur de l’autre qu’ils traineront toute leur vie n’a pour moi aucun sens. On sait que les gens vaccinés continuent d’attraper et de transmettre la maladie.

Pourquoi vacciner les enfants alors si le vaccin ne protège pas et qu’ils pourront de toutes façons transmette le virus à grand-papa et grand-maman à Noël ?

Je suis médecin spécialiste en Anatomie Pathologique depuis 29 ans, au service de la communauté québécoise de l’Outaouais depuis 2011.

A titre personnel, je me suis beaucoup investie ces dix dernières dans mon CISSS pour améliorer le service à la population.

Par principe, un traitement médical, quel qu’il soit, est individualisé et ne peut être administré qu’avec le consentement libre et éclairé de celui qui le reçoit.

Dans la mesure où la balance bénéfice/risque doit s’apprécier individuellement, je ne suis pas encore prête à recevoir un vaccin élaboré selon une technologie que je considère trop nouvelle chez l’Homme et sur laquelle on ne dispose pas d’un recul suffisant sur les effets secondaires à moyen et long terme.

Je suis policier depuis 17 ans. Je me suis ouvert à un autre narratif en écoutant des messages lancés par des médecins spécialisés et reconnus mondialement, qui affirment qu’il y a des risques de problèmes liés à la vaccination !

C’est surtout la vaccination des enfants qui me trouble profondément car je suis un père de famille.  Et que dire du fait que ces médecins à forte crédibilité internationale sont censurés ?

En tant que policier, je respecte le choix de chacun, je respecte la charte des droits et libertés, ainsi que l’intégrité du corps de chacun.